Le temps d’une occupation temporaire, la clinique Antoine Depage revit: «Tout ce que nous avons déjà traversé, même à mon pire ennemi, je ne le souhaiterais pas»

Vide depuis près de deux ans, l’ancienne clinique Antoine Depage à Saint-Gilles a retrouvé la vie depuis quelques semaines, grâce à une occupation précaire, temporaire, et nécessaire? Reportage.

Le temps d’une occupation temporaire, la clinique Antoine Depage revit: «Tout ce que nous avons déjà traversé, même à mon pire ennemi, je ne le souhaiterais pas»
À l’Hospitalière, les 80 occupants trouvent peu à peu leurs marques dans l’immense bâtiment. ©ÉdA Mathieu Golinvaux

C’était le 18 décembre dernier. Après avoir gardé le lieu de leur action discretjusqu’au dernier moment, le SMS d’un destinataire inconnu nous autorise à dévoiler que plusieurs collectifs viennent de «réquisitionner» un bâtiment inoccupé de Saint-Gilles pour en faire un nouveau lieu de vie.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...