Le comité du Brabant fait peau neuve
Moïra Della Faille, Élodie Gryspeerdt et Philippe Metten ont été élus lors de l’assemblée. Les voilà administrateurs au Brabant-AFT.
/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/6HQ2PON5SNBWBD26QFJEMDJ53A.jpg)
- Publié le 30-01-2019 à 06h00
:focal(507x309:517x299)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/A573SCG2NREIHPWFJPEVMIB74M.jpg)
C'est dans les installations du Mounier, à Wezembeek, que s'est tenu l'assemblée générale du Brabant. «88% des clubs étaient présents ou représentés, ce qui est un excellent résultat, se félicite Marc Hofmans. Il y a toujours plus de monde quand nous sommes dans une année d'élections.»
Et il y a eu du changement au niveau des administrateurs actifs au comité. Logique quand on sait qu’il y avait quatre candidats sortants: Jean-Claude Moretti, atteint par la limite d’âge, Maryse Collignon, jeune maman, qui ne se représentait plus, ainsi que Roberto Berardi qui avait déjà démissionné début 2018. On peut y rajouter le président Marc Hofmans, qui était rééligible et qui a été réélu. Sur les sept candidats, en plus de Marc Hofmans, ont été élus: Moïra Della Faille, Élodie Gryspeerdt et Philippe Metten. Ils rejoignent François Laurent, Cédric Hamiet et Patrick Leclerc, déjà en place.
Ils seront donc sept à mener la barque du Brabant AFT lors d'une première année que le président annonce «charnière. Le Brabant se porte très bien mais il faut maintenant trouver de la stabilité dans un comité fortement rajeuni. J'étais le petit jeune il y a dix ans et je fais maintenant partie des anciens. Le fait d'avoir eu sept candidats pour entrer au comité est aussi un signe qui ne trompe pas. Les gens ont envie de s'investir.»
Les fonctions des différents membres seront définies lors d'une prochaine réunion. En attendant, les différentes commissions ont profité de l'assemblée pour faire un état des lieux de leurs bilans et projets. « Le gros point qui est sur la table concerne la réforme des compétitions et des classements. Elle est lancée avec son lot de questions et d'interrogations. Je sais que les sceptiques sont encore nombreux mais on fera le bilan après un an, une fois que nous aurons enregistré toutes les données. Cette réforme est vraiment un gros challenge. Il y a plus de catégories, plus de participants, et il faut gérer tout ça. Avec le nouveau comité, on va maintenant répondre aux questions des gens.»