Berghmans, le deuxième père
Incertain, Quentin Beunardeau a finalement tenu sa place, dimanche. «J’avais un gros hématome à la hanche après l’Antwerp, rappelle le joueur de l’AFC.
Publié le 16-02-2016 à 05h00
Mais bon, quand on est gardien, il faut avoir un pète au casque, comme on dit en France (NDLR: être fou). Donc j’ai serré les dents et cela a été…»Cette prestation est dans la continuité de ce que montre le dernier rempart Sang et Or ces derniers temps et Thierry Berghmans, le coach des gardiens, n’y est pas étranger, visiblement. «C’est super de bosser avec lui, indique Quentin Beunardeau. J’adore l’homme, humainement, et l’entraîneur, sportivement. Il m’a fait progresser cette saison et si j’en suis là, c’est entre autres grâce à lui. Il reste encore quelques matches à bien négocier et je dois continuer mais il est sûr que je le remercierai à la fin, vraiment.»Après quoi, Quentin retournera à Nancy, qui le prête cette saison à l’AFC. Et la suite? «Je ne sais pas encore mais je me concentre avant tout sur Tubize», conclut-il.