Jill Lorent des Bears aux Belgian Cats
Ce n’est pas courant de voir une femme à la tête d’une équipe masculine. Jill Lorent est pourtant une des rares à faire ce job, chez les Stella Leuven Bears, au plus haut niveau.
Publié le 26-02-2023 à 21h15 - Mis à jour le 26-02-2023 à 21h16
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Vendredi, elle a coaché la TDM2 du club louvaniste qui s’est imposée contre Nivelles.
Jill Lorent, vous venez de répondre positivement à l’invitation de la fédération de prendre le poste d’assistante-coach des Belgian Cats, quel est votre sentiment par rapport à cela ?
Je pense que c’est une très belle opportunité pour moi et je suis vraiment heureuse qu’ils me l’aient proposé. C’est encore tout neuf. J’avoue que je ne réalise pas encore très bien.
Cela fait quelques saisons que vous évoluez dans le basket masculin. Désormais, vous vous tournez aussi vers le basket féminin. C’est un changement d’orientation dans votre carrière ?
En fait, cela fait 17 ans que je suis active au club de Louvain où j’ai coaché toutes les équipes d’âge avant de devenir l’assistante d’Eddy Casteels, il y a quatre saisons. Il y a très longtemps, j’ai déjà eu l’occasion de coacher des filles, mais c’était il y a longtemps. Intégrer les Belgian Cats, c’est vraiment une nouvelle expérience professionnelle.
Faudra-t-il vous adapter au basket féminin ?
Je ne pense pas. Le basket-ball reste le basket-ball. Peut-être et parfois on peut considérer qu’il existe une approche un peu différente mais globalement cela ne change pas.
Comment allez vous combiner la vie entre l’équipe nationale et le club de Louvain ?
Il n’y aura pas de changement. Je reste l’entraîneur principal de la TDM2 de Louvain et l’assistante d’Eddy Casteels en BNXT League. Les Belgian Cats ce sera en plus. C’est peut-être beaucoup. L’avenir nous le dira.