200 participants au Canicross du crapaud

C’était la toute première organisation, elle a été menée de main de maîtres. Si d’habitude, c’est au Bois de Lauzelle que le club organise ses séances, pour la compétition, le choix s’est porté sur le Bois des Rêves. "Cela nous semblait plus simple au domaine provinciale, dans un cadre magnifique, une belle manière de promouvoir le lieu."

Quant au parcours, les organisateurs souhaitaient "un tracé digne de ce nom avec du dénivelé, des parties variées ou on a du single ou des allées larges, où il n’y a pas le temps de s’ennuyer."

Les participants ont adoré le mélange entre le dénivelé et la technique. "Il y avait pas mal de changements de direction également, ce qui était voulu avec des passages et surtout des virages techniques. Ils ont apprécié."

L’épreuve n’étant pas dans le planning officiel de la fédération, la question était de savoir si la participation serait élevée. "L’épreuve était libre. Vu que pour l’instant, il n’y a pas de course au calendrier de la fédération, certains ont fait le déplacement parfois de loin, ils n’ont pas été déçus. On a choisi un “ entre deux ” pour la distance, avec cinq kilomètres. Vu la météo, il y avait un peu de boue… On ne s’attendait pas à avoir un tel succès. On était impatient de connaître le retour des participants, et ils sont finalement super positifs !"

Pour Sarah Baelus, le changement de casquette entre formatrice et organisatrice a donc été bien négocié. "C’était beaucoup de travail avec une bonne équipe à mes côtés. Pas mal de choses à préparer et à coordonner. Cela a été très humain, avec de nombreux échanges."

La suite ? "Officiel ou pas, quelle date, quelle fréquence… On va y réfléchir. Mais on devrait rester probablement dans la même ligne de conduite."