Succès mérité d’Archennes-Pécrot
Les deux équipes sont privées de trois titulaires. Sans gardien, Archennes-Pécrot est contraint de sacrifier son avant, Geert Elaerts, qui prend place entre les perches.
Publié le 25-11-2013 à 06h00
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Les vingt premières minutes sont partagées et le jeu se déroule essentiellement au centre du terrain avec quelques tentatives lointaines qui ne mettent pas les deux portiers à contribution. C’est Bierges qui va hériter de la plus belle occasion après vingt-quatre minutes de jeu. Lacluyse se présente seul devant le gardien local mais son envoi passe largement au-dessus. À la 30 e , Godart déborde sur la gauche, son centre est parfait mais J. Decoster arrive un rien trop tard. À la 35 e , sur une longue rentrée en touche, Denys oblige Mercier à la parade. Les visités poussent et vont fort logiquement ouvrir la marque quand un centre de Godart isole Denys qui place au fond des filets. Bierges a à peine le temps de se remettre de ses émotions que J. Decoster centre idéalement pour Godart qui double la mise. 2-0 au repos.
Archennes-Pécrot3Bierges0
Mi-temps: 2-0.
Arbitre: Claude Renquin.
Buts: Denys (1-0, 40’), Godart (2-0, 42’), Decoster (3-0, 55’).
Cartes jaunes: Defoort, B.Decoster et Bauwin.
ARCHENNES-PECROT: Elaerts, Deschoenmackers, Socquet, Denys, Vanhemelen (78’, Hauwaert), Godart (80’, Daskali), J.Decoster, Huijberecht, Defoort (69’, Van Koningsloo), Gonzalez, B.Decoster.
BIERGES: Mercier, Vanderhaegen, Goossens, Sheppard, Bauwin, Hellin, Abu Jeriban (55’, Defruytier), Lacluyse, Bresciani, Michiels, Rigaux.
Archennes-Pécrot reprend en force pour tuer le match. Il y parviendra à la 55e quand J. Decoster, sur un effort personnel de la droite, rentre dans le jeu pour placer hors de portée de Mercier. C’est 3-0. Les visiteurs pressent mais il est beaucoup trop tard car les locaux restent très dangereux sur les contres. À noter que Bierges a joué de malchance avec deux envois sur la transversale mais il faut aussi reconnaître que ceux-ci, et de l’avis même de son secrétaire et correspondant qualifié, Jean-Claude Pilet, ne méritaient rien. Jean-Claude enfonçait même le clou en disant que la défaite des siens aurait pu être plus lourde dans les chiffres.
J.Dr.