"Faire vite" avec les analphabètes: la pression des pouvoirs publics pointée du doigt

L’ASBL Lire et Écrire s’inquiète de la politique de la rentabilité qui lui est imposée. Une source d’insécurité pour les apprenants…

Christophe GOFFAUT
"Faire vite" avec les analphabètes: la pression des pouvoirs publics pointée du doigt
Une partie de l’équipe Lire et Écrire Brabant wallon, en compagnie de quelques apprenants. ©ÉdA

Le 8 septembre, c’est la journée internationale de l’alphabétisation. L’occasion pour l’ASBL «Lire et Écrire» de rappeler la persistance de l’illettrisme et, aussi, de mettre l’accent sur les problématiques rencontrées. Cette année, le mouvement d’éducation permanente pointe la politique de rentabilité qui lui est imposée par les pouvoirs publics. De manière générale, le secteur de l’alphabétisation est sommé de faire vite. Les exigences politiques sont cependant difficilement compatibles avec celles liées au temps nécessaire et indispensable pour apprendre.

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