Domaine d’Hélécine : tennis et padel rouvriront ce mercredi 1er mars
Bonne nouvelle, la Province du Brabant wallon a trouvé un accord avec le Tennis Club de l’Abbaye après la faillite du concessionnaire.
Publié le 27-02-2023 à 19h09 - Mis à jour le 27-02-2023 à 19h10
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Depuis fin 2022, les trois terrains de tennis et les deux courts de padel du domaine provincial d’Hélécine sont désespérément vides. Si cela peut paraître normal pour le tennis en extérieur, l’hiver, ce n’est pas le cas pour le padel. La raison ? Le concessionnaire qui avait remporté le marché public de la Province du Brabant wallon pour gérer le site a fait faillite après neuf mois d’occupation, mettant les nombreux joueurs dans l’embarras, mais aussi la Province qui aspirait à une utilisation active des installations.
La question était de savoir quand une solution constructive allait pouvoir voir le jour. Voici un mois, Tanguy Stuckens, président du collège provincial, assurait que ses services s’activaient à trouver une solution dans l’urgence, solution provisoire, mais concrète.
Et il vient de trouver une solution qui arrangera toutes les parties: "Avec mon collègue en charge du domaine d’Hélécine, Marc Bastin, nous avons mené les contacts nécessaires et sommes heureux de confirmer qu’une convention à titre précaire a été signée avec l’ASBL Tennis Club de l’Abbaye qui est historiquement le club qui était actif sur le site. Concrètement, dès ce mercredi 1er mars, les joueurs pourront à nouveau fouler les terrains de tennis et de padel. C’est bien entendu une excellente nouvelle pour les joueurs, pour le club local mais aussi pour nous."
Grâce à cet accord, les interclubs vont pouvoir se tenir et les joueurs pourront pratiquer leur sport favori. C’est aussi l’occasion de lancer une fois pour toutes les récents terrains de padel. "La convention court jusqu’au 31 décembre, le temps nécessaire pour relancer un nouvel appel à intérêt pour une convention qui permettra alors, nous l’espérons, une concession stable et à plus long terme."
Dans le cadre de ces discussions, Tanguy Stuckens se félicite aussi d’avoir pu baliser avec le club local les règles d’occupation. "Il était important pour nous de veiller à la bonne cohabitation avec le voisinage. Les horaires sont donc adaptés pour éviter aux riverains les nuisances sonores. Nous avons aussi veillé à réglementer l’usage de l’éclairage qui générait lui aussi des perturbations."