L’avenue des Prisonniers de guerre sera la première rue cyclable de Court-Saint-Étienne
Les travaux sont en voie d’achèvement à l’avenue des Prisonniers de guerre qui deviendra la première rue cyclable de Court-Saint-Étienne.
Publié le 06-03-2023 à 16h11 - Mis à jour le 06-03-2023 à 16h12
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Les travaux à l’avenue des Prisonniers de guerre, à Court-Saint-Étienne, entamés le 8 novembre 2021, sont enfin en voie d’achèvement. "Les travaux qui doivent encore être exécutés se font en surface. Ce sont les trottoirs, la sous-couche, les plateaux et la couche de finition. L’entreprise travaille actuellement à la réalisation des trottoirs. Les prochaines étapes seront le placement de la sous-couche d’asphaltage, la réalisation des trois plateaux, la couche de finition en revêtement ocre, et la signalisation, explique Mélanie Laroche, échevine des Travaux et de la Mobilité.
En principe, nous ne devrions plus rencontrer de problème technique important. Nous espérons que la réalisation des plateaux pourra se terminer fin avril. Si c’est le cas, et si les conditions climatiques le permettent, nous pourrions envisager la pose de la couche de finition lors des vacances scolaires du 1er au 12 mai."
La voirie est amenée à devenir la première rue cyclable sur le territoire de Court-Saint-Étienne. "La circulation sera limitée à 30 km/h. Le cycliste peut utiliser toute la largeur de la chaussée, le déplacement des cyclistes par les automobilistes y est interdit. La rue est conçue pour la mobilité douce. Nous avons opté pour le revêtement ocre pour bien attirer l’attention sur le statut de rue cyclable", poursuit Mélanie Laroche.
Les travaux d’aménagement de l’avenue des Prisonniers de guerre étaient programmés sur 130 jours ouvrables, hors congés et hors intempéries: "Nous avons eu un premier retard suite à la pose de l’égouttage. Le raccordement à un exutoire tel que prévu dans les plans n’était pas possible. Le chantier a été arrêté pendant 25 jours, le temps de trouver une solution. Il a ensuite fallu 21 jours supplémentaires pour mettre en place la nouvelle solution.
La présence d’impétrants non répertoriés a nécessité 45 jours de délai supplémentaire, le temps de faire intervenir ORES et l’inBW. Ceci explique, avec les intempéries et les congés, qu’un an et quatre mois plus tard, nous soyons toujours en travaux. Nous aspirons tous à ce qu’ils soient terminés"