Court-Saint-Étienne : un an de prison avec sursis pour un prévenu qui s’était opposé à la saisie de sa Maserati

C’est l’histoire d’un entrepreneur qui, victime des aléas de la vie, voit sa société dépérir. Il se retrouve dans la dèche et en correctionnelle

Jean Vandendries
Une image de l’exposition Maserati à l’Autoworld (Bruxelles) en 2014.
Une image de l’exposition Maserati à l’Autoworld (Bruxelles) en 2014. ©ÉDA JACQUES DUCHATEAU 

Pascal R., un Stéphanois de 54 ans, a comparu le 13 septembre sous bracelet électronique au tribunal correctionnel de Nivelles après sa libération conditionnelle dans un dossier à l’instruction pour une affaire de stupéfiants. Il a dû répondre des préventions d’insolvabilité frauduleuse et de détournement d’une Maserati entre le 28 juillet 2018 et le 15 janvier 2019. Il avait, avec mère, frère et sœur, fondé une entreprise de construction qui paraissait bien lancée. Elle construisit par exemple un immeuble de cinq appartements en bénéficiant d’un prêt bancaire de 390 000 €.

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