Le BC Braine-le-Château se mobilise pour la bonne cause
Une délégation du BC Braine-le-Château a participé, ce dimanche, au défi «Viva for Life» organisé par le centre paramédical de Waterloo.
Publié le 26-11-2019 à 07h15
Depuis 2017, le centre paramédical de Waterloo concocte chaque année un grand défi dans le cadre de l’opération Viva for Life. À chaque fois, Frédéric Hanse profite de cet événement pour soutenir la cause, visant à lutter contre la pauvreté infantile, tout en mobilisant ses proches.
Ce dimanche, il a fait le déplacement avec une trentaine de membres de son club, le BC Braine-le-Château. «Mon équipe U16 garçons était présente, ainsi que d'autres joueurs et coachs, se réjouit le directeur technique des Castelbrainois. Même «Vitesse», le tenancier de la buvette s'est mobilisé et nous a accompagnés. »
Ensemble, ils ont pris part aux différents défis orchestrés au sein du Centre lors de sessions de vélo elliptique, d'isoforce ou encore d'hydrojet. «Ce rendez-vous est l'occasion de faire une sortie entre nous, en dehors de la sphère du basket, indique Fred Hanse. L'ambiance est conviviale, cela permet de renforcer les liens au sein du club. Quelque part, c'est une forme de team building. D'autant que certains se prennent au jeu et comparent les résultats obtenus lors d'exercices comme celui consacré au renforcement musculaire, en se charriant gentiment.»
Le basketteur connaît bien le centre paramédical de Waterloo. Son épouse, Cindy Debacker, y exerce sa profession de kinésithérapeute. «J'ai l'habitude d'orienter les basketteurs vers cet endroit pour les inciter, notamment, à se soumettre au test à l'effort. C'est une précaution importante pour prévenir les problèmes cardiaques sur le terrain. Tous les clubs devraient d'ailleurs demander à leurs membres de le passer en début de saison.»
Ce week-end, l'objectif était surtout de gonfler la cagnotte promise au Viva for Life. En 2018, le compteur s'était arrêté à 2 435€. Ce chiffre devrait être dépassé cette année. «C'est en tout cas bien parti, pense Frédéric Hanse. Les activités étaient plus nombreuses que lors de la précédente édition. Une seule journée a déjà permis de récolter plus de la moitié du montant total de l'année dernière.»