475 jeunes affiliés : un record à Braine
L’école des jeunes du RCS Brainois est en plein boum. Le club a présenté toutes ses équipes d’âge au grand public dimanche dernier.
Publié le 11-10-2013 à 06h00
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Le RCS Brainois avait mis les petits plats dans les grands dimanche dernier à l'occasion de la présentation de ses jeunes, ce qui représente une petite trentaine d'équipes. «Cela s'est super bien passé, sourit Henry Pensis. Il y avait beaucoup de monde, sous le soleil, et nos équipes de P2 et P3 jouaient en même temps. On a pris tous les jeunes en photo avant les rencontres et ceux-ci ont ensuite défilé avec leurs coachs durant la mi-temps.»
Cet événement important est l'occasion de rappeler que l'école des jeunes, qui occupe une place de choix dans le quotidien du cercle brainois, ne s'est jamais aussi bien portée. «Nous totalisons pour l'instant un record de 475 affiliés: on n'avait jamais vu ça à Braine!»
L'arrivée récente du terrain synthétique n'y est bien sûr pas étrangère. «Le synthétique est fort utilisé et permet de nous soulager au niveau de nos terrains en herbe. J'en profite d'ailleurs pour remercier la commune car c'est grâce à l'apport de ce magnifique outil que l'école des jeunes connaît un succès grandissant. À présent, on ne doit plus jouer dans la boue ce qui a pas mal d'avantages, notamment pour les filles.»
Preuve de la réussite du projet jeunesse au stade Gaston Reiff, les excellents résultats forgés par toutes ses équipes depuis le début de la saison. Les U12 nationaux, pour ne citer qu'eux sont, d'ailleurs, en tête de leur série pour l'instant. «On a de très bonnes nouvelles à ce niveau-là puisque pratiquement tous nos nationaux jouent la tête de leur championnat. On a aussi deux équipes qui sont deuxièmes.»
Grâce à des outils de travail efficaces et un encadrement de grande qualité, l'avenir du football semble bien assuré à Braine qui surfe sur la vague depuis son centenaire. «J'assiste à plusieurs matchs chaque week-end et je découvre de très bons joueurs, précise Henry Pensis. Il y a vraiment du talent chez nous. Grâce au synthétique et aux entraîneurs. Par exemple, l'arrivée d'anciens joueurs comme Pascal Leguillier ou Dimitri Desmet donnent vraiment une bonne image au club et à ses jeunes.»