André Grenier : «L’avenir des élèves n’est pas plombé»

À la tête des sept écoles de l’enseignement provincial du Brabant wallon, André Grenier se dit inquiet pour le niveau des élèves du secondaire, mais il reste positif sur le long terme. À condition que les écoles restent en présentiel à 100%.

INTERVIEW : ariane bilteryst
André Grenier : «L’avenir des élèves n’est pas plombé»
Les inquiétudes d’André Grenier, directeur d’administration de l’enseignement provincial, se portent particulièrement sur les acquis des jeunes de certaines années du secondaire. ©

Quelque 5 000 élèves et un millier de professeurs fréquentent les établissements de l’enseignement provincial en Brabant wallon. En septembre dernier, à la rentrée, André Grenier, le directeur qui chapeaute ces différentes implantations et instituts (Cepes, Ipam, IPES), se disait ravi de retrouver élèves et professeurs en chair et en os. Il a dû déchanter quelques mois plus tard puisque l’enseignement hybride a refait son apparition en décembre dernier. Le directeur retrouve aujourd’hui tout le monde en 100 % présentiel, c’est un soulagement et cela devient même un impératif.

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