Super, elle crée sa marque de vêtements !
La styliste disonaise Tugba Kuz lance sa propre marque de prêt-à-porter. Avec des couleurs poudrées, des sequins et des fleurs, elle a trouvé son style.
- Publié le 27-11-2014 à 05h00
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Tout juste diplômée de l’Helmo Mode de Liège en juin 2014, Tugba Kuz enchaîne depuis lors les projets et les défilés partout en Belgique. Mais ce qui l’anime, ces derniers temps, c’est surtout la création de sa propre marque, baptisée «Moderies».
«Je suis en train de faire toutes les démarches pour en faire une marque déposée et pour pouvoir ensuite créer mon propre site internet de vente en ligne», explique la jeune femme de 24 ans. Alors en attendant ces autorisations, elle tente de faire connaître ses créations au public par le biais des réseaux sociaux.
«Pour l'instant, je confectionne mes pièces de A à Z, toute seule, et dès qu'elles sont terminées, je les mets en ligne». Et d'ailleurs celles-ci n'y restent jamais très longtemps. «Jusqu'à présent, j'ai vendu toutes les créations très rapidement. Ce sont des pièces uniques et c'est, je pense, ce qui plaît à mes clientes», avance la styliste.
Puis, on peut dire que le style très «girly» des collections de Tugba Kuz a tout pour plaire aux amatrices de mode. Au programme: des couleurs vives, des paillettes et des motifs floraux. «J'aime beaucoup le rose par exemple. Et je ne peux pas m'empêcher de rajouter des paillettes et des sequins partout. C'est un peu devenu ma marque de fabrique», avoue-t-elle.
Très dynamique et passionnée, cette dernière commence même à chercher activement un atelier avec lequel elle pourrait collaborer pour la confection de ces nouvelles pièces. «Cela me permettrait de produire plus de vêtements et dans toutes les tailles, ce qui n'est pas encore possible aujourd'hui comme je fais tout moi-même». Une main-d'œuvre d'autant plus nécessaire qu'elle dessine à l'heure actuelle les premiers croquis d'une collection de robes de soirée et de cocktail.
Même si Tugba Kuz est consciente qu'il ne sera pas simple de se faire une place dans le domaine de la mode, celle-ci garde espoir. «Mon rêve, ce serait d'ouvrir une petite boutique-atelier à Liège ou à Bruxelles». Affaire à suivre!