Soixante bulles à vêtements non déclarées

Ça chauffe chez les «chiffonniers»! En Wallonie picarde, plus qu’ailleurs, le marché a à souffrir de la proximité du territoire français.

Stéphane Diricq
Soixante bulles à vêtements non déclarées
Collecte de vêtements ©ÉdA – 202499282393

Nous l’écrivions dans nos éditions de vendredi : les acteurs se multiplient dans le marché de la fripe (pas toujours dans la légalité) et les prix de collecte ne cessent de flamber. Pour preuve, l’initiative du gestionnaire des déchets du Brabant wallon: l’IBW a choisi de vendre le textile usagé collecté dans ses parcs à conteneurs à la société Recytex. À 200€ la tonne, la démarche – liée à la conjoncture favorable sur les marchés de la friperie – pourrait donner des idées à d’autres intercommunales (relire nos éditions du 30août).

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