Avec l’ancienne «plume» de Jospin

On l’a dit: Baron noir, c’est un peu le House of Cards français. Mais avec un style quasi documentaire qui ne s’embarrasse pas, non plus, des sous-intrigues qu’affectionne la série Netflix: «Ils ont pris le parti de se différencier en enlevant toute histoire d’amour, ou de meurtre, analyse Astrid Whetnall, qui sera aussi de la saison 3.

Mi.D.

Ici, on est uniquement dans le discours politique, et c’est tellement bien fait que même le néophyte ou celui qui ne s’intéresse pas à la politique sera captivé.»

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