L’art intime de Stigman

C’est un rock à la fois fragile et puissant. Seul à la barre, le Namurois Stigman (aka François Borgers) enregistre des chansons qui semblent écrites à l’encre des sentiments bruts.

L’art intime de Stigman
stigman.jpg ©Jean-François Flamey

Il cite le Velvet, Sparklehorse ou Portishead comme influences, mais Broken Skins est avant tout l’expression d’une vraie personnalité musicale. Des chansons comme What’s done… ou Life in hand vous accrochent comme un souvenir douloureux, le rappel d’une cicatrice. Production rugueuse et lo-fi, textes sensibles, Stigman offre un 1er album dense et attachant.¦ Th. D.-F.

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