Go Nagaï a donné son accord en 15 jours

Écrit puis dessiné à cinq, ce Goldorak des temps nouveaux a donc mis cinq ans à voir le jour. La faute au studio détenteur des droits, qui s’est montré dur en affaires, conscient de l’enjeu financier sur un territoire – la France – où Goldorak fut un succès immense, peut-être même davantage qu’au Japon, où l’ère des séries de super-robots arrivait à son terme fin des années 70.

Mi.D.

Une attente frustrante quand on sait que Go Nagaï, le créateur de la série (76 ans), avait marqué son accord après seulement 15 jours (!).

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