La vie passe vite, ô Diana!

Le jour où Léopoldine Vandelamalle entre dans la boulangerie des Borj, à Marfort, Gilda la femme du boulanger ne se doute pas que toute sa vie va être bouleversée.

M.G.

Représentant l’Œuvre nationale des orphelins de guerre, elle demande aux Borj d’accueillir une de ses pupilles, un peu «simple», Josée. Celle-ci va donc intégrer la famille, servir au comptoir et parfois accompagner Astrid, la fille de la maison, dans ses sorties. C’est ainsi qu’elle découvre Henri Breyre, jeune chanteur belge qui reprend la chanson de Paul Anka, Diana, et le plaisir de chanter. Remarquée par le directeur de la chorale locale, Josée sera la soliste de la messe de minuit. Une messe retransmise à la télévision. De quoi susciter bien des aigreurs et des jalousies…

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