Violette Morris, championne oubliée

Grâce à «Femme qui court», Gérard de Cortanze réhabilite une sportive exceptionnelle faussement accusée de collaboration avec la Gestapo.

Michel PAQUOT

Les lancers du poids, du disque et du javelot, la boxe, le football, le vélo, la natation, l’automobile et la moto: ce sont autant de sports où Violette Morris a excellé dans l’entre-deux-guerres, battant souvent des hommes. Et pourtant, cette athlète détentrice de plus de vingt records, «grande gueule» totalement incontrôlable, qui fumait plusieurs paquets de cigarettes par jour, portait un pantalon (interdit à l’époque) et aimait les femmes, est tombée dans l’oubli.

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