« Gary aurait dû dire : Ajar, c’est moi »

Romain Gary fut «l’ami intime» d’André Asséo qui, à sa mort, s’est vu confier la responsabilité de son fils Diego. Il en parle toujours avec «les larmes aux yeux».

Michel PAQUOT

Dans Mes aveux les plus doux (1), André Asséo, ancien directeur chez Polydor et animateur des «Étoiles du Cinéma» sur France Inter, se souvient de Barbara, Brel, Brassens, Galabru, Arletty, Nucéra, Piccoli, Birkin ou Trintignant, mais, surtout, de Romain Gary qui, avec Joseph Kessel, fut sa rencontre la plus marquante.

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