Nostradamus confondu par le dernier Templier

Ce n'est pas tous les jours qu'un éditeur québécois est fasciné par un auteur belge. Louise Courteau Éditrice présente Rudy Cambier à la Foire du livre.

François DESCY

Au Québec, Louise Courteau a pignon sur rue. Première femme à faire le métier. Trente ans que ça dure. Trois cent trente titres parus. Un des tout derniers en date s'intitule Le dernier chemin des Templiers. Le livre démontre que cen'est pas Nostradamus qui a écrit les Centuries. Que le véritable auteur s'appelle Yves de Lessines, 15e abbé de l'abbaye de Cambron, sur les ruines de laquelle s'est installé Parc Paradisio. Que les Centuries ne sont en rien des prédictions mais une histoire, celle des Templiers. Que la motivation d'Yves de Lessines était que « le secret des Templiers soit connu un jour », comme l'écrit en 4e de couverture Geneviève Mouligneau, docteur en Philosophie et Lettres. Rien que ça ! Mais Louise Courteau a été convaincue par la démonstration. « Seuls les auteurs sérieux m'intéressent, c'est-à-dire ceux qui mettent la vérité sur la place publique » nous a-t-elle dit hier. Ces jours-ci, elle publie un autre auteur belge, Antoon Vollemaere, dont « Apocalypse maya 2012, foutaise ou science ? » s'inscrit dans la même démarche que celle de Rudy Cambier.Louise Courteau nous dit qu'elle a aussi été « totalement séduite par le talent d'écriture de Rudy Cambier ». « Je n'ai jamais lu un manuscrit comme celui-là ! affirme-t-elle.

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