Face à la mer [CRITIQUE] - Errance libanaise
Jana revient à Beyrouth après une longue absence. Ses parents l’accueillent avec joie, mais aussi des questions – auxquelles la jeune femme ne répond pas, tentant de se reconstruire dans une ville qu’elle ne reconnaît pas. Heureusement, il y a Adam,
Publié le 05-04-2022 à 17h00
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Jana revient à Beyrouth après une longue absence. Ses parents l’accueillent avec joie, mais aussi des questions – auxquelles la jeune femme ne répond pas, tentant de se reconstruire dans une ville qu’elle ne reconnaît pas. Heureusement, il y a Adam, qui la fait encore sourire.
Ce qu’on en pense
Remarqué avec la Palme d’Or du court-métrage, le libanais Ely Dagher signe un premier long en forme d’errance existentielle dans un Beyrouth moderne et à l’abandon – comme son héroïne, aussi incarnée que paumée. Un récit mélancolique soigné, alourdi par l’absence de tension dramatique.
Drame de Ely Dagher. Avec Manal Issa et Roger Azar (1h56)