Joachim Lafosse, la dictature de l’émotion

La fin ne justifie pas toujours les moyens. C’est ce que tente de démontrer Joachim Lafosse dans «Les chevaliers blancs», une adaptation (décevante) de l’affaire de l’Arche de Zoé.

Astrid Jansen
Joachim Lafosse, la dictature de l’émotion
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