
Lucas Dellisanti (à droite), aux côtés d’un des collaborateurs du High Five, Nicolas Bataille. ÉdA – 501226115064
Au High Five, ouvert juste avant la deuxième vague, on vend du café dont la torréfaction se fait sur place.
LOUVAIN-LA-NEUVE
Lucas Dellisanti (à droite), aux côtés d’un des collaborateurs du High Five, Nicolas Bataille. ÉdA – 501226115064
Au High Five, ouvert juste avant la deuxième vague, on vend du café dont la torréfaction se fait sur place.