
«Depuis 15 ans que je suis en Belgique, je peux constater à quel point la monarchie reste sacrée, on ne peut pas y toucher.» Pourtant, Stéphane Arcas ne s’en est pas privé en maquillant la reine Fabiola en Joker, et en y gravant les lettres LHOOQ, comme l’aurait fait Marcel Duchamp. L’oeuvre de l’exposition la plus déconcertante pour certains visiteurs. Amélie Degehet / ÉDA - Alexis Seny
En résidence au Point Culture, le metteur en scène et plasticien Stéphane Arcas propose une exposition donnant un autre sens aux images du pouvoir.