Conflit de voisinage, vol, infraction au code de la route, agression, autant de motifs de se retrouver face au tribunal. S’il existe une multitude d’alternatives pour l’éviter, force est de constater que nos tribunaux sont pleins.
+ DÉCOUVREZ NOTRE DOSSIER: Au tribunal chroniques d’audiences en Wallonie
Face à ces hommes et ces femmes pris en défaut: un juge. À lui de juger les arguments de chacun pour ensuite opter pour la compréhension, le sermon et parfois la punition.
L’Avenir vous invite à découvrir ces petites scènes insolites de vos tribunaux mais aussi des tranches de vie.qf
Jonathan (28 ans), Marcel et Yvette (63 ans) se retrouvent sur le banc des prévenus. Ils sont poursuivis pour avoir vendu du cannabis, le tout en association. Il y avait comme un petit air de la série de Netflix “Family business” mais en version carolo.
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Ce quadragénaire est féru d’histoire et plus particulièrement des pièces anciennes et autres médailles, au point d’en faire une activité complémentaire. «Un homme passionné et passionnant», dira même la substitute du procureur.
Mais une visite banale de la police va révéler «u n paradis des receleurs» . Et le voilà au tribunal pour répondre de nombreuses préventions: altération de monnaies, contrefaçon, escroquerie, fraude fiscale, travail frauduleux.…
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Citation de la semaine
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L’homme n’a pas digéré que le bourgmestre fasse condamner ses 3 immeubles avant de finalement les saisir. Pour se venger, il a notamment accroché des chats morts aux fenêtres de la maison du bourgmestre. Face au tribunal, il se présente en victime mais n’hésite pas à comparer le bourgmestre à Albert Speer, ministre du troisième Reich et instigateur de la Shoah.
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C’est en volant la clé lors d’une recherche d’emploi qu’un homme et son complice ont pu dérober à la Mission Régionale et au CPAS 9 ordinateurs portables, une imprimante, 4 écrans, un rétroprojecteur, un casque d’ordinateur, une armoire, mais aussi une vingtaine de masques en tissus. L’un des voleurs s’en est rapidement vanté.
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Les parents ont très mal pris une décision du tribunal de la jeunesse de placer leurs cinq enfants. On était le 19 mars 2018. Ils ont directement plié bagage et pris la direction de la Haute Savoie, avec leurs enfants. Aux yeux de la justice, il s’agit ni plus ni moins que d’un enlèvement d’enfants.
Deux ans plus tard, ils doivent en répondre devant le tribunal correctionnel de Neufchâteau, ainsi que de coups et blessures sur leurs enfants.
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