
À minuit vingt, il y avait encore du monde sur place du Dr Hollenfeltz, à Arlon, vendredi soir. EdA
En dépit de l’épidémie de coronavirus, des Arlonais ont bien profité de la dernière soirée permise jusqu’au 3 avril. «Je m’en fous d’avoir le coronavirus, je ne vais pas en mourir. C’est ridicule d’en faire tout un foin», raconte un fêtard.