Des astuces pour motiver les élèves à faire du sport; tout ce qu’il faut savoir sur le clitoris; les bons mots du père Guy Gilbert... Voici une sélection des articles réservés à nos abonnés à découvrir ce mardi 12 novembre.
On voit les élèves de secondaire courir – ou marcher – le long de la Meuse, autour du pâté de maison, dans le parc de la commune… dans certaines écoles, ça peut durer jusqu’à deux mois. Au fil des semaines, il y a de moins en moins de jeunes, parce qu’ils «oublient leur tenue», qu’ils sont «malades». Mais pas les élèves de Mehdi Lahrizi qui nous dévoile ses recettes pour réussir à captiver les jeunes.
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Le clitoris, il ressemble à quoi? La question n’est pas si banale. Peu de jeunes femmes savent y répondre. Le docu «Mon Nom est Clitoris» lève les tabous. Masturbation, première fois, porno, éducation sexuelle: ses témoins parlent à cœur ouvert. Et les réalisatrices traquent le sexisme dans leur discours. Interview.
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Invité par le Lions Clubs de la Barrière de Champlon, le père Guy Gilbert a donné une conférence à Marloie, dans une église qui affichait complet. Plus de deux heures durant, le curé des loubards s’est épanché sur le thème de la famille et des jeunes. Et à 84 ans, on peut dire qu’il garde une pêche d’enfer!
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Arboriste et grimpeur-élagueur depuis près de 30 ans, le Heydois Pierre Lesage lance les Wow Hut, conçues de ses propres mains. Un rêve d’enfant.
«Je suis un véritable gamin des bois», indique d’emblée Pierre Lesage. Dans sa famille, le bois, on l’a dans le sang depuis quatre générations. «Mon père a travaillé à la scierie familiale à Houffalize. Enfant, j’ai toujours baigné dans l’univers du bois, dans les copeaux, joué dans la forêt,… J’ai toujours voulu travailler dans le domaine des arbres», se remémore-t-il.
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Jean Dujardin se confronte à l’affaire Dreyfus dans «J’accuse», le petit dernier de Roman Polanski. En enfilant l’uniforme du Capitaine Picquart, celui qui a fait éclater l’affaire Dreyfus, l’acteur a redécouvert une histoire plus contemporaine qu’elle n’y paraît. Interview.
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Comme le veut la tradition, une délégation de l’Athénée royal Prince Baudouin de Marchin s’est joint aux autorités locales et représentants des anciens combattants au pied du monument de la place Belle-Maison, ce lundi, à l’occasion du 101e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale. À 17 ans, Ema Struys («Eala» de son totem) a pris la parole au nom de ses camarades. Entretien.
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Dix-neuf juillet dernier. À Pau. Rendez-vous annuel du Tour. Lancé à toute allure vers la ligne d’arrivée, écrasant les pédales de toute sa classe pour essayer de combler le débours qu’il compte alors sur un Thomas De Gendt survolté, Wout van Aert prend à la corde un virage très serré. La hanche droite percute une barrière de plein fouet. Le choc est d’une violence inouïe. Sous l’impact, la jambe droite semble ne plus tenir à ce corps meurtri. Comme désarticulé, le Campinois glisse quelques mètres sur le bitume de l’enfer. Son enfer...
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Pour sa troisième édition, le Belgian Beer Festival verviétois ravit toujours autant d’amateurs de boissons houblonnées. Et cette édition hivernale, qui s’est tenue ces vendredi et samedi, n’a pas échappé à la règle. «Nous avons eu lors de ces deux jours près de 3 000 personnes, explique Olivier Lopez, l’organisateur de l’événement. La soirée du vendredi fut vraiment un gros succès de foule.» Et ce qui a attiré ce nombre important de visiteurs, ce sont évidemment les bières, et surtout les variantes de Noël.
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Samedi, 11 heures. C’est qu’on se bouscule déjà à l’entrée de La Sucrerie, à la rue de l’Ermitage. Il y a pas mal d’anciens et nouveaux ministres, une flopée de bourgmestres, d’échevins et de conseillers communaux et provinciaux. C’est que le moment est important. Ce n’est, en effet, pas tous les jours que l’on inaugure un espace aussi grand, construit expressément pour être totalement dédié à la culture: La Sucrerie.
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Lors de la chute du mur de Berlin, de nombreux ressortissants de pays occidentaux ont pris la direction de la ville allemande pour vivre l’événement au plus près. Trois Nivellois, les frères Francis et Didier Gille, accompagnés de Philippe Sanspoux, étaient parmi eux. «Quand on a vu ce qui se passait, on a commandé nos passeports. Le temps de les recevoir et nous nous mettions en route, pour être sur place le 18 novembre.»
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