Jean Derycke est décédé inopinément à son domicile (Haillot) la nuit dernière. Pour ses collègues du service sportif, c’est un gros coup de massue, un indescriptible sentiment de profonde tristesse.
Âgé de 42 ans, il était né le 20 novembre 1976, Jean était marié à Evelyne et nous parlait souvent de ses quatre merveilleuses filles, Milla, Lou, Cléo et Sybil. Son départ plonge tout le monde dans le désarroi car Jean était un collègue toujours généreux, autant dans l’amitié que dans le boulot. Ses saillies étaient innombrables ainsi que ses jeux de mots souvent appréciés.
Jean avait débuté comme correspondant sportif au Rappel à Charleroi fin des années 90, puis avait été engagé comme journaliste sportif, toujours à Charleroi en juillet 2000. Il avait ensuite rejoint la rédaction sportive locale namuroise et enfin le sport national (2002).
Jean Derycke était également le scénariste de deux bandes dessinées: Les Diablitos et Bertin Timbert grand reporter, Panique sur la PQR.
Les Editions de l’Avenir ne peuvent que présenter leurs plus sincères condoléances à la famille de Jean, et c’est bien peu en regard de l’immense malheur qui l’accable.
Ses collègues inconsolables
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Hommages
De nombreux confrères, ainsi que l’Union belge de football, ont eu un petit mot pour Jean à l’annonce de son décès:
Jean, ce n'était pas qu'un excellent journaliste, fort en gueule et à la plume tranchante. C'était un gars bien, qui avait la main sur ce coeur qui l'a lâché la nuit dernière. Je suis triste pour lui, pour ses collègues et sa famille. Putain de loi des séries.
— Vincent Josephy (@VincentJosephy) 17 décembre 2018