
Cloé sort souvent avec son magnétophone. Elle collecte les petits bruits de la ville. « Je suis très perfectionniste. Comme dans ces bidouillages électroniques que j’ajoute sans arrêt. Mais il faut pouvoir lâcher le disque ».
Cloé du Trèfle invente une Émilie Jolie bruxelloise. Où le bleu du ciel cède sous le gris béton. Et du noir humain. Déambulation urbaine, voyage nocturne, «D’une Nuit à une Autre» dialogue avec ceux qui restent et ceux qui sont partis. Départ ce jeudi 10 octobre au Botanique.