
Procès de la « torturée de Jemappes » : la substitute exige des durées minimales lourdes pour les accusés, vu la gravité des faits.
Procès de «la torturée de Jemappes» : la substitute n’a pas demandé de peine précise mais exige des durées minimales d’emprisonnement, qui doivent être lourdes selon elle.