
Taty Asigani espérait d’autres débuts à Montleban.
Le Rossignol était passablement enroué dimanche. Pourtant, la chaleur ambiante n’était pas l’élément le plus propice au mal de gorge. C’est Montleban, remonté comme un coucou qui a pris dès l’entame son adversaire à la gorge, le réduisant au silence une bonne partie du match. Beau joueur, Didier Noël admettait élégamment que le nul était assez flatteur pour sa formation chérie : « C’était un match de P2 dans lequel nos joueurs n’ont joué que 20 minutes. On a de la chance de recoller au score et d’empocher un partage inespéré vu la tournure des événements, poursuit le directeur sportif local. De cette manière, on laisse notre adversaire du jour à 9 points.»