D’un côté les éloges, de l’autre la soupe à la grimace. « Qu’ajouter ?,explique l’entraîneur Guerit. Depuis quelques rencontres, mes joueurs ont compris que la solidarité n’était pas un vain mot. Aujourd’hui, on joue en bloc, sans plus chercher à faire des ronds pour épater la galerie. Il n’y a pas d’autre explication. »D’un côté les éloges, de l’autre la soupe à la grimace. « Qu’ajouter ?,explique l’entraîneur Guerit. Depuis quelques rencontres, mes joueurs ont compris que la solidarité n’était pas un vain mot. Aujourd’hui, on joue en bloc, sans plus chercher à faire des ronds pour épater la galerie. Il n’y a pas d’autre explication. » Du côté de Nicolas Marcelle la version est autre : « Tout n’était pas mauvais, dans ce match. Mais, une fois encore, les miens ont manqué d’écoute. Pas assez de présence dans les duels et des directives qui ne sont pas appliquées. Puis ces occasions que nous ne parvenons pas à mettre au fond ! Comment me faire comprendre. En employant les grands moyens ? »D’un côté les éloges, de l’autre la soupe à la grimace. « Qu’ajouter ?,explique l’entraîneur Guerit. Depuis quelques rencontres, mes joueurs ont compris que la solidarité n’était pas un vain mot. Aujourd’hui, on joue en bloc, sans plus chercher à faire des ronds pour épater la galerie. Il n’y a pas d’autre explication. »D’un côté les éloges, de l’autre la soupe à la grimace. « Qu’ajouter ?,explique l’entraîneur Guerit. Depuis quelques rencontres, mes joueurs ont compris que la solidarité n’était pas un vain mot. Aujourd’hui, on joue en bloc, sans plus chercher à faire des ronds pour épater la galerie. Il n’y a pas d’autre explication. »
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