Christel Swaab (ici devant Winkelmans) et les Natoyennes ont présenté un match référence.
Sans Laloux et Binamé, Natoye se voyait dès le début de rencontre encore un peu plus handicapé avec seulement huit joueuses sur la feuille. Face à une équipe de Wavre-Sainte-Catherine qui devait surtout faire tourner et voulait faire travailler spécifiquement chaque joueuse, Natoye a souffert au niveau de la condition physique. Mais les Jaunes n’ont pas pour autant fait pâle figure. Si bien qu’à cinq minutes du terme (68-77), le coach malinois Arvid Diels était obligé de faire remonter sur le jeu trois de ses joueuses expérimentées pour freiner l’élan natoyen.
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