Une semaine après leur lancement, les tweets du pape sont focalisés sur la confiance et la proximité de Dieu dans le quotidien. Mais ils ne répondent jamais à des demandes spécifiques ni aux critiques nombreuses adressées à l’Eglise.
Alors que le nombre de «followers» de
Au total, en une semaine, neuf tweets ont été publiés sur le compte officiel @Pontifex, en huit langues (anglais, espagnol, français, arabe, portugais, polonais, italien, allemand): il s’agit de trois questions sur la foi sélectionnées parmi les milliers envoyées au pape et de six réflexions du pape.
Les interrogations faisaient état du «monde sans espérance» et de la difficulté de prier.
Benoît XVI répond en appelant à la confiance, à «la certitude que le croyant n’est jamais seul», à l’affirmation que Jésus peut être rencontré «en celui qui est dans le besoin».
Les débuts du pape sur Twitter ont été caractérisés par un déversement de messages facétieux ou d’insultes, bien plus nombreux que les demandes pieuses ou doctrinales. Les allusions à la «richesse», aux scandales financiers et sexuels, les revendications sur les droits sexuels sont très présents.