VIDÉOS| L.E.J. organise un gros pogo hip-hop-cordes à Esperanzah!
À Esperanzah!, en règle générale, ça saute beaucoup. Encore plus quand vient la nuit. Sur scène mais aussi dans le public.
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- Publié le 04-08-2019 à 09h29
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Sur le coup de 23 h, une heure inhabituelle pour elles, le trio L.E.J. (Lucie, Elisa et Juliette, mais dites Elijay, révélées par internet grâce à Summer 2015, mix de tubes de l'été revus et corrigés avec leur style unique) a mis les vieilles pierres de l'abbaye à l'heure du hip-hop-cordes. Violoncelle et percussions ont fait le boulot entre musique classique, chanson française et une solide dose de sons plus urbains.
Et les festivaliers avaient du répondant. Au point que les trois Parisiennes qui rêvent de Belgique (elles l'ont avoué plus d'une fois) les entraînent dans une danse folle, survitaminée et sautante. Le titre choisi? Pas l'time, nouveau morceau bourré d'autodérision et chanté à vitesse grand V. Et pour le public, bras dessus bras dessous, l'occasion d'aller voir à gauche et puis à droite, par petits ou par grands bonds, dans un grand moment de communion festive.
À deux pas du festival, c’est encore le festival
Après un Bella Ciao endiablé, la veille; la rue qui se jette dans l'entrée du festival a de nouveau connu un grand moment. Preuve que sur quelques mètres carrés, les jours d'Esperanzah, Floreffe connaît une sorte de fêtes de Wallonie.
Aux platines du Baromètre, le DJ Stefke van Namen, n’a pas réfréné les ardeurs festives des festivaliers. Les emmenant danser sur les tables avec un mix décapant, hardcore. Regain d’énergie à la clé.