VIDÉO | Fruitiers: la revanche des hautes tiges

Arrachés en masse jadis, les arbres fruitiers hautes tiges suscitent à nouveau l’intérêt. Positif pour la diversité et rentable économiquement.

Alain Wolwertz

Début des années 70, le tout à l’agriculture intensive a bien failli avoir la peau de nombreuses variétés de fruitiers hautes tiges. À l’époque, l’État offrait des primes pour l’arrachage de ces arbres, remplacés par des plantations de fruitiers basses tiges plus rapidement productifs et mieux adaptés à une agriculture toujours plus mécanisée. Résultat: entre 1970 et 1978, 99% des 20 000 hectares (voire plus car les recensements étaient parcellaires) des vergers hautes tiges ont disparu.

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