Comment le "deal Assadi" a permis la libération de trois Européens

Une semaine après Olivier Vandecasteele, deux Autrichiens et un Danois ont été libérés des geôles iraniennes.

Clément Boileau
 La ministre des Affaires étrangères belge Hadja Lahbib s’est félicitée d’avoir obtenu la libération des otages.
La ministre des Affaires étrangères belge Hadja Lahbib s’est félicitée d’avoir obtenu la libération des otages. ©EdA Mathieu Golinvaux

Et trois de plus. Ce vendredi, une semaine après la libération d’Olivier Vandecasteele, trois Européens ont été libérés des geôles iraniennes : deux Autrichiens et un Danois (dont l’identité nétait pas connue à l’heure d’écrire ces lignes). Le tout, avec l’aide précieuse de la Belgique et du Sultanat d’Oman, qui a de nouveau joué les intermédiaires avec l’Iran, comme ce fut le cas pour l’échange entre Vandecasteele et Assadolah Assadi.

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