L’UE et la Tunisie en quête d’un narratif commun

De retour d’une mission d’évaluation de la situation en Tunisie pour le compte de l’UE, la ministre belge des Affaires Étrangères Hadja Lahbib livre ses impressions.

Clément Boileau
 Des Tunisiens britanniques devant l’ambassade de Tunisie à Londres pour protester contre l’effondrement de la liberté démocratique et politique du pays, fin avril dernier.
Des Tunisiens britanniques devant l’ambassade de Tunisie à Londres pour protester contre l’effondrement de la liberté démocratique et politique du pays, fin avril dernier. ©Photo News 

Fraîchement revenue de Tunisie, où elle se trouvait en mission la semaine dernière (avec son homologue portugais), pour y représenter l’Union européenne, la ministre des Affaires Étrangères belge Hadja Lahbib a transmis au Conseil européen un rapport visant à évaluer la situation. Ceci alors que le pays connaît une crise économique sans précédent, que le pouvoir enferme ses opposants au nom de la sûreté nationale et que le président Saïed a livré à la vindicte les migrants subsahariens, perçus comme une menace civilisationnelle.

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