Le gouvernement grec sous pression après la catastrophe

Ce mercredi, des milliers de Grecs étaient dans les rues, alors qu’une partie du pays faisait grève.

Clément Boileau
Manifestants dans les rues d’Athènes, ce mercredi. La catastrophe ferroviaire cristallise d’autres crises, comme celle touchant au traitement des migrants en Grèce.
Manifestants dans les rues d’Athènes, ce mercredi. La catastrophe ferroviaire cristallise d’autres crises, comme celle touchant au traitement des migrants en Grèce. ©AFP 

La colère ne faiblit pas en Grèce après la catastrophe ferroviaire qui a provoqué la mort d’au moins 57 personnes, plus une centaine de blessés, le 28 février dernier. Alors que des grèves et blocages ont été observés aussi bien dans le public que dans le privé, des transports aux ports restés fermés, en passant par les hôpitaux, au moins 50 000 personnes ont crié leur colère dans les rues d’Athènes, mais aussi à Thessalonique, seconde ville du pays, ou environ 20 000 personnes ont manifesté. Les manifestants, notamment à Athènes, ont été dispersés à coups de gaz lacrymogène.

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