En France, la rue en arbitre de la réforme des retraites

Les syndicats ont appelé à une nouvelle mobilisation générale, après que le projet de loi a été débattu dans le chaos à l’Assemblée Nationale.

Clément Boileau
 Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, principal syndicat français, le 2 mars dernier.
Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, principal syndicat français, le 2 mars dernier. ©AFP

Une France "à l’arrêt". C’est par ces mots que les principaux syndicats ont appelé, le 24 février dernier, au blocage complet du pays, alors que le gouvernement tentait de faire passer aux forceps sa réforme des retraites, largement décriée par l’opposition mais jugée nécessaire par l’exécutif afin d’en sauver le financement sur le long terme.

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