Faut-il craindre une pandémie de grippe aviaire chez l’homme ?

Le décès d’une petite Cambodgienne ravive la peur de la grippe aviaire. Le risque de pandémie chez l’homme est faible mais les adaptations potentielles du virus H5N1 invitent à la plus grande vigilance.

Caroline Desorbay
 La contamination des humains par le H5N1 a lieu lors de contacts directs avec des volailles infectées.
La contamination des humains par le H5N1 a lieu lors de contacts directs avec des volailles infectées. ©ÉdA Philippe Labeye 

Depuis fin 2021, l’Europe est aux prises avec la plus importante épidémie de grippe aviaire. Et depuis peu, le virus H5N1, hautement infectieux, contamine également des mammifères. Des renards, furets, visons, loutres et même un chat ont été testés positifs. Début février, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelait à la vigilance face au risque de transmission du H5N1 à des mammifères.

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